Archives mensuelles : janvier 2020

Découvrez Aztec Gold Megaways, la nouvelle machine à sous d’iSoftBet

Le développeur de jeux de casino en ligne iSoftBet vient d’ajouter un nouveau titre à sa collection de jeux Megaways™, que vous pouvez retrouver sur Tropezia Palace dès maintenant. Il s’agit de la machine à sous vidéo Aztec Gold™ ! Utilisant un tout nouveau moteur graphique, cette production met aussi en évidence de nouvelles fonctionnalités et un système de paiement inédit, entre autres choses. Pour terminer, si vous êtes intéressé par les civilisations antiques, Aztec Gold™ pourrait bien vous procurer de longues heures de jeu !

Aztec Gold Megaways™ : gagnez jusqu’à 19 200 fois votre mise !

La nouvelle machine à sous vidéo du développeur iGaming iSoftBet, Aztec Gold Megaways™, est composée de 6 rouleaux avec la particularité inédite que chacun d’entre eux peut en réalité héberger jusqu’à sept symboles ! En outre, pas moins de 117 649 combinaisons gagnantes ont ici été intégrées pour permettre au joueur de remporter des gains prodigieux, le jackpot maximal de la machine à sous correspondant à 19 200 fois le montant de la mise initiale du parieur !

Parmi les autres features révolutionnaires que possède Aztec Gold Megaways™ : une série d’explosions en cascade représentées par les « Cash Respins », les symboles Wild et Scatter « Sun Disc » et bien d’autres fonctionnalités agrémentées de multiplicateurs x 7. Au niveau des limites de mise, les joueurs peuvent parier le montant qu’ils souhaitent à partir de 0,20 € par Spin, la mise maximale autorisée étant fixée à 20 € par rotation. Pour terminer, à en juger le potentiel de gains de Aztec Gold Megaways™ et le comportement de ses rouleaux, nous pouvons dire que nous avons là affaire à une machine à sous dont la volatilité est mi-haute, mi-moyenne.

Une machine à sous sur les aztèques… sans aztèques ?

Tandis que sur le plan du gameplay, des fonctionnalités et des mécaniques de jeu Aztec Gold Megaways™ s’avère très satisfaisante, on regrettera que si peu d’efforts aient été faits au niveau de la direction artistique du nouveau titre d’iSoftBet. En effet, on est loin de la machine à sous mystique voire même historique. L’influence de la culture aztèque est malheureusement trop peu présente. Pire encore, les symboles très dorés et cubiques de la video slot lui donnent même de faux airs futuristes, chose qui pourrait en dérouter plus d’uns et d’unes.

Pour un temple construit en plein milieu de la jungle et oublié depuis des siècles, on s’attendait donc à un décor plus symbolique et majestueux ! Mais ce n’est que partie remise ; après tout, on ne peut pas exceller à tous les coups ! Et exceller, le studio iSoftBet nous a prouvé qu’il savait le faire dans ses précédentes productions. En attendant, bon jeu sur Aztec Gold Megaways™ !

En France, 500 000 joueurs misent sur des casinos en ligne illégaux

Si l’on en croit les dires de l’ANJ (Autorité Nationale des Jeux, ex-Autorité de Régulation des Jeux en Ligne), il y aurait en France pas moins de 500 000 résidents qui joueraient sur des casinos en ligne illégaux à des jeux tels que les machines à sous, la roulette ou encore le craps en ligne. Que faut-il en conclure ?

Les Français jouent sur des casinos en ligne malgré les interdictions

D’après le régulateur, jusqu’à 500 000 internautes français se rendraient sur des sites illégaux pour miser aux machines à sous, à la roulette et aux jeux de cartes. Rappelons qu’uniquement trois types de produits en ligne se sont ouverts à la concurrence en France — et ce à partir du 12 mai 2010 : les paris sportifs, les paris hippiques et le poker. Les jeux de casino en ligne quant à eux, demeurent toujours interdits, leur pendant physique étant sous la tutelle du Ministère de l’Intérieur.

Pour M. Humbert Michaud, responsable du développement chez l’opérateur français Betclic — depuis longtemps exporté sur l’île de Malte : « Les jeux de casino en ligne représentent le seul produit qui soit encore absent de la régulation française. Cela est surprenant quand on sait que la plupart des pays européens ont franchi le pas. Je pense notamment à la Belgique, au Danemark, à l’Espagne, à l’Italie, au Portugal, au Royaume-Uni et à la Suède. À ce jour, l’État français ferme les yeux face à un marché illégal qui est particulièrement important ». Rappelons que Betclic avait profité d’un vide juridique dans les années 2000, proposant une offre de casino en ligne aux joueurs français, avant de rebrousser chemin durant l’été 2010.

En France, les opérateurs physiques conservent le monopole des casinos

À ce jour, les établissements qui proposent des jeux de casino détenus par les groupes Partouche, Barrière, Joa et Tranchant possèdent le monopole du marché. En effet, légalement, seuls ces établissements sont autorisés à proposer des machines à sous, de la roulette, du blackjack, du craps ou encore du vidéo poker. En 2018, les casinos terrestres français ont généré un produit brut des jeux (PBJ) de 2,3 milliards d’euros, ce qui est deux fois plus que le PBJ des paris sportifs, des paris hippiques et du poker réunis.

Reste à se demander si le marché des casinos français s’ouvrira un jour à la concurrence ! D’après le régulateur, l’ANJ : « […] Cette décision revient à l’État, lequel est probablement très prudent à ce sujet car il est avéré que des jeux tels que les machines à sous proposées sur les supports en ligne présentent des risques en ce qui concerne l’addiction et le jeu excessif ». Rappelons que le pouvoir de l’ANJ s’étend aujourd’hui aux casinos en dur, et plus seulement aux sites de paris en ligne.

Vers un rachat de la Société Française de Casinos par Circus Casino France ?

Selon notre confrère Boursier.com, la Société Française de Casinos a communiqué à ses actionnaires l’intention de la société Circus Casino France de signer des contrats de cession en vue d’acquérir un bloc de contrôle qui équivaut à 50,05 % du capital et des droits de vote de l’entité. Il serait question de céder la totalité de la participation actuellement détenue par la firme Frameliris — qui représente 37,05 % du capital et des droits de vote —, ainsi que celle de Foch Investissements, pesant quant à elle 13 % du capital et des droits de vote de la Société Française de Casinos.

GAMING1 et sa filiale menacent la Société Française de Casinos

Le groupe GAMING1, qui emploie pas moins de mille salariés et qui évolue majoritairement dans le domaine des jeux de hasard, exploite nombre de salles de jeux et autres casinos. Par le biais de sa filiale Circus Casino France, GAMING1 — qui opère dans l’Hexagone via les casinos d’Allevard-les-Bains, de Briançon, de Carnac et de Port Leucate —, est sur le point de faire l’acquisition de la Société Française de Casinos. GAMING1, qui exploite un club de jeux dans Paris depuis novembre 2019, attend simplement la levée des conditions suspensives d’usage, notamment l’octroi de l’autorisation remise par le Ministre de l’Intérieur, conformément aux dispositions de l’article L. 323-3 du Code de la Sécurité Intérieure.

À noter que si les différentes cessions se concrétisent réellement, Circus Casino France prendrait automatiquement le contrôle de la Société Française de Casinos. Il en résulterait le dépôt d’un projet d’offre publique d’achat simplifiée, comme le veut la réglementation en vigueur. Le prix d’achat des actions serait alors de 1,44 € l’unité ; l’investissement concernerait l’intégralité des actions de la Société Française de Casinos existantes et non détenues par Circus Casino France.

L’opération devrait être complétée dès mi-2020

Si l’on suit la procédure habituelle, la nomination d’un expert indépendant par le conseil d’administration de la Société Française de Casinos sera la prochaine étape majeure. Ce dernier aura pour mission de statuer sur les conditions financières de l’offre publique, afin de les rendre les plus équitables possible. Le dépôt de l’offre publique, quant à lui, est attendu pour le milieu de l’année en cours.

Faisons remarquer que Circus Casino France n’entend pas demander la mise en oeuvre d’un retrait obligatoire des actions de la Société Française de Casinos suite à la formulation de l’offre. Chose peu anodine, toutefois : la Société Française de Casinos avait demandé la suspension de la cotation de son titre le 30 décembre dernier. Le 02 janvier 2020, elle aurait demandé à Euronext Paris d’effectuer sa reprise à l’ouverture de la bourse. Affaire à suivre !